Mettre à jour OpenStreetMap à partir d'ArcGIS

Esri va encore plus dans l'intégration d'OpenStreetMap en proposant ArcGIS Editor for OpenStreetMap. Il s'agit d'une série d'outils permettant de créer, de mettre à jour et de poster des données OSM à partir d'un poste ArcGIS Desktop (ArcView, ArcEditor ou ArcInfo). Cet Add-On gratuit est disponible à partir de la page suivante. Sans rentrer trop dans les détails, je viens de tester et l'outil et je vous propose un petit résumé des principales fonctions qui sont proposées.

La première étape consiste à extraire les données de la base OpenStreetMap sur votre zone de travail afin de les enregistrer en local dans une Géodatabase Fichier ou dans une Géodatabase Enterprise. Pour cela un outil de Géotraitement vous permettra de spécifier la base de données, l'étendue géographique ainsi que les classes d'entités à extraire.

Une fois les données extraites en local, vous allez pouvoir exploiter la richesse des outils de mise à jour géométrique et attributaire d'ArcMap pour ajouter, modifier ou supprimer des entités dans les différentes classes d'entités. Afin de proposer à l'utilisateur des fonctions de saisie adaptées au modèle de données OpenStreetMap et pour permettre la détection de conflit lors de la réconciliation avec la base OpenStreetMap, vous pourrez ajouter les extensions de classe pour chacune des classes d'entités extraites. Pour cela deux outils sont proposés pour ajouter et supprimer ces extensions de classe.

La Toolbox propose également des outils permettant à l'utilisateur d'appliquer automatiquement une symbologie adaptée à la représentation des différents types d'entités OpenStreetMap.

Enfin, un des points intéressant de cet Add-On c'est que l'on peut poster ses mises à jour directement dans la base de données OpenStreetMap en gérant les conflits potentiels avec d'autres modifications réalisées par d'autres contributeurs. Une interface de gestion spécifique est fournie via la commande "OSM Conflict Editor" de la barre d'outils "OpenStreetMap".

Toujours plus d'ouverture...
 
On notera enfin que cet Add-On est non seulement gratuit mais que son code source est disponible en Open Source via CodePlex. Pour les amateurs d'OpenStreetMap, il s'agit donc d'une opportunité de contribuer à l'enrichissement de ces outils et documentation associée.

Le code source et le téléchargement d'ArcGIS Editor for OSM pour les différentes versions d'ArcGIS Desktop se trouvent désormais sur GitHub à cette URL

Nous l'avons évoqué il y a quelques jours avec la "World Topographic Map", ESRI poursuit sa démarche d'offrir toujours plus de contenus à ses utilisateurs. Pour cela, ArcGIS propose de plus en plus de fonctionnalités pour adresser les processus de cartographie collaborative (ou VGI Volunteered Cartography Information). Une des illustrations les plus notables aujourd'hui dans ArcGIS 10 est probablement l'intégration d'OpenStreetMap.

Depuis la version 10, OpenStreetMap fait partie des basemaps (fonds de carte) proposés sur ArcGIS Online et donc, par conséquent, accessible dans toutes les applications ArcGIS (Desktop, Server, Mobile, Explore, iOS, …). 

Par exemple, dans ArcMap (ou ArcGlobe), il suffit de sélectionner la carte OpenStreetMap à l'ade de la commande "Ajouter un fond de carte" et votre carte s'enrichira du fond ce carte routière communautaire.

Dans ArcGIS Explorer (Desktop ou Online), il vous suffira de sélectionner le fond de carte OpenStreetMap dans la liste déroulante des basemaps.

Dans ArcGIS for iOS, il suffit de cliquer sur la commande "Find Map" et de la sélectionner le fond de carte "OpenStreetMap" dans une des listes (par exemple: "Most Popular").

Il est également possible d'utiliser le fond de carte OpenStreetMap dans les APIs Web ArcGIS 2.0 (Flex, JavaScript ou Silverlight) en ajoutant dans votre composant Map un élément de type OpenStreetMapLayer.

Nous venons de voir comment différents composants du système ArcGIS peuvent accéder au fond de carte OpenStreetMap. L'intégration d'OpenStreetMap dans ArcGIS 10 va beaucoup plus loin avec la capacité désormais d'accéder et de mettre à jour directement la base de données dans un contexte collaboratif. J'évoquerai cet aspect dans mon prochain article...

J'ai déjà évoqué plusieurs fois le recueil de cartes que publie chaque année Esri France pour illustrer les travaux de ses utilisateurs. C'est également une tradition chez Esri depuis de nombreuses années, à l'occasion de la conférence mondiale, de publier un Map Book composé d'une centaine de cartes réalisées par des utilisateurs du monde entier.

Cette année est un peu particulière car il s'agit du 25ème numéro de cette magnifique vitrine de la diversité et de la qualité des projets cartographiques d'utilisateurs de tous horizons. Un quart de siècle de cartographie et de développement d'outils SIG a été consigné dans cette collection de plus d'un millier de cartes. A cette occasion Esri a eu l'idée de mettre cote à cote quelques cartes des années 80 avec leur équivalent réalisée en 2009, c'est assez frappant.

On notera également que, comme chaque année, des utilisateurs français sont représentés dans ce recueil 2010 avec :

Pour faire partie du recueil de cartes d'Esri France ou d'Esri, il n'est jamais trop tard. Le plus simple est de participer au prochain concours de posters de SIG2010.

Référencé dans nos liens, je n'avais jamais eu l'occasion d'évoquer le blog ArcUtilisateurs dans arcOrama. Comme sa bannière l'indique, ArcUtilisateurs est un blog 100% québécois traitant essentiellement des solutions Esri. Un peu comme arcOrama, ce blog est rédigé par deux francophones d'Esri Canada, Eric Lacoursière et Martin Couture. Je vous en recommande donc la lecture régulière.

Dans sa démarche de fournir toujours plus de contenus à ses utilisateurs, ESRI continue à travailler sur les basemaps (fonds de carte) disponibles gratuitement sur ArcGIS Online. En particulier, ce sont des mises à jour importantes sur la "World Topographic Map" qui viennent d'être finalisées. Les niveaux d'échelle 14 et 15 ont été implémentés sur la France et sur l'ensemble de l'Europe de l'ouest. L'échelle la plus fine est donc désormais de 1/18000 contre 1/72000 auparavant.

Les utilisateurs d'ArcGIS (Explorer, Desktop, Reader, Engine, Server, Mobile, iOS, …) disposent d'une carte topographique intégrant les voies, l'occupation du sol, la toponymie, l'hydrographie, le relief, les courbes de niveau et les bâtiments (sur les grandes zones urbaines). Vous pouvez par exemple la consulter avec le visualiseur d'ArcGIS.com, avec ArcGIS Explorer Online ou encore avec ArcGIS Desktop (9.3 et supérieur).

Comme les autres fonds de carte en ligne d'ArcGIS Online, le schéma de tuillage de la World Topographic Map est le même que celui de Google Maps et Micricosoft Bing Maps. Ceci simplifie les opérations de mashups avec les APIs Web ArcGIS (JavaScript, Flex et Silverlight). Vous pouvez accéder à la description complète du service web "World Topographic Map sur ArcGIS.com.

Un projet collaboratif

Cette carte topographique mondiale est un projet qui repose sur une participation active d'ESRI mais aussi et surtout sur la collaboration d'utilisateurs ArcGIS du monde entier. En effet, les niveaux d'échelles les plus fins (du 10000ème au 1000ème environ) de la "World Topographic Map" sont issus de la cartographie d'utilisateurs. Ces derniers utilisent les modèles mis à disposition par ESRI afin de construire le modèle de données et la cartographie correspondant à la carte topographique sur leur territoire. Ensuite, les caches de cette carte sont calculés (par les utilisateurs ou par ESRI) puis mis à disposition au travers la "World Topographic Map" sur ArcGIS Online pour bénéficier au plus grand nombre.



Si ce projet vous intéresse, vous trouverez toutes les informations sur le "Community Map Program" à la page suivante.

- Le chargement des images JPEG2000 est désormais incrémental et donc plus optimum en termes de ressources mémoire,
- Les développeurs d'extensions de couche peuvent maintenant définir si la couche est dynamique ou non-dynamique,
- Il est désormais possible, sur les tablet-PC tournant sous Windows XP, de désactiver le GPS en utilisant l'outil "GPS Activate/Deactivate".

Après une belle soirée francophone le 14 juillet (plus de 60 personnes), c'était hier soir la soirée clôturant la semaine et réunissant une dernière fois les 15000 conférenciers (13000 participants + 1000 Esri + 1000 distributeurs) devant le doux couché de soleil sur la baie de San Diego.

Comme chaque année la semaine a été des plus chargée et, une fois de plus, le temps m'a manqué pour bloguer autant que je l'aurai souhaité. Au travers des échanges avec les spécialistes d'ESRI et les différents ateliers techniques, j'ai validé de nombreuses informations techniques autour d'ArcGIS 10 sur des sujets encore peu traités comme celui du nouveau géocodeur, des solutions autour d'INSPIRE, de l'extension ArcGIS Server Geoportal, de la gestion des métadonnées dans ArcGIS 10 ou encore concernant l'arrivée d'ArcGIS Viewer for Flex.

Autant de sujets que nous prendrons le temps de détailler dans arcOrama mais aussi et surtout à la fin du mois de septembre, à Versailles, à l'occasion de la conférence SIG 2010.

Comme si vous y étiez (ou presque), les vidéos de la session plénière de la conférence ESRI 2010 viennent d'être mises en ligne sur le site officiel. Vous y retrouverez notamment l'intervention de Jack Dangermond, les présentations techniques ainsi que les keynotes speaker.

Dans la dernière vidéo, je vous encourage vivement à suivre l'intervention de Richard Saul Wurman, fondateur de TED, présentant notamment le projet 19-20-21 qui étudie comment les grandes métropoles de notre monde s'organisent et se développement mais aussi comprendre les patterns et les éléments de comparaisons entre ces grandes concentrations humaines.

Les dernières composantes du système ArcGIS 10 se déploient cette semaine. En effet, depuis quelques jours, l'API ArcGIS for Silverlight/WPF 2.0 est disponible en version finale. Comme pour l'API ArcGIS for Flex et pour l'API ArcGIS for JavaScript, pour en tirer toutes les capacités, cette nouvelle version requière ArcGIS Server 10 dont elle intègre les nouvelles fonctionnalités de l'API Rest. L'API ArcGIS for Silverlight 2.0 est cependant compatible avec ArcGIS Server 9.3 et 9.3.1 sur toutes les opérations de Mapping et Query déjà disponibles dans les versions précédentes de l'API.

Cette nouvelle version est basée sur le SDK Microsoft Silverlight 4 ce qui signifie l'usage de Visual Studio 10 (ou Visual Web Developer Express qui est gratuit) et Expression Blend 4.

La version 2.0 de l'API Silverlight proposent de très nombreuses nouveautés (Feature Layers, Editing, Time aware Layers, ...) que je ne détaille pas dans cet article. En effet, comme pour l'API Flex, ces évolutions découlent directement des évolutions de l'API Rest d'ArcGIS Server 10. Vous retrouverez tous les détails des nouveauté de cette version 2.0 sur cette page.

Vous pouvez donc dès aujourd'hui télécharger l'API ArcGIS for Silverlight/WPF. L'ensemble de la documentation a été enrichie, en particulier pour les exemples de code encore plus nombreux qu'en version 1.x.

Enfin, comme pour les versions précédentes, ESRI a publié en Open Source la librairie ESRI.ArcGIS.Client.Toolkit.dll sur la plateforme CodePlex. Cette dernière contient des contrôles graphiques, des widgets, des outils et des plugins pour certaines sources de données (WMS, OpenStreetMap, …) que les développeurs peuvent prendre en main, adapter ou étendre selon leur besoins.

Pas évident pour moi de résumer cette première journée de conférence durant laquelle ESRI nous a proposé de nombreuses démos et toutes très riches en montrant à chaque fois l'articulation de différentes applications du système ArcGIS. Plusieurs démos ont également montrer l'émergence de nouveaux usages des SIG et leur extension vers de nouveaux types d'utilisateurs allant souvent de paire avec l'intégration de technologies innovantes issues de partenaires d'ESRI. Deux exemples ont retenus mon attention.

Application City Sourced / ESRI


La société City Sourced a présenté une application mobile intéressante fonctionnant à la fois sur iPhone, Blackberry et Androïd. Exemple typique d'application de "Crowd Sourcing", cette dernière permet à tous citoyens de signaler différents types d'information (graffitis, accidents, travaux sur la voie publique, dégradations/disfonctionnement de matériels publics, …) à partir d'un téléphone connecté à Internet.


L'information est stockée dans un SIG basé sur ArcGIS Server et hébergé dans un environnement de type Cloud en l'occurrence Windows Azure. L'application propose également une cartographie dynamique sur le web (basée sur API JavaScript ArcGIS) pour visualiser et analyser les informations collectées par la communauté.

Une idée intéressante de Géo-application, un bel exemple d'intégration des technologie Web 2.0 mais également une illustration de l'ouverture du système ArcGIS.

Le second exemple qui a retenu toute l'attention de la salle concerne la 3D dans ArcGIS 10. J'ai eu l'occasion de l'évoqué, de nombreuses évolutions ont été apportés sur les fonctions d'analyse, les fonctions d'intégration et de mise à jour d'objets 3D ainsi que sur l'optimisation de l'affichage des villes virtuelles. Dans une magnifique démo, ESRI à démontré l'intérêt de ces nouvelles fonctions d'analyse ainsi que les possibilités de diffusion de ces analyses sur le web.

Après avoir montré l'intégration de fichiers 3D externes dans la Géodatabase, en l'occurrence un projet de building dans le quartier d'affaire de Rotterdam, ESRI a montrer comment utiliser les fonctions d'analyse 3D d'ArcGIS 10 pour étudier l'impact de ce bâtiment (et des bâtiments voisin) en termes d'ombres portées selon la saison et l'heure de la journée.

Sans aucun plug-in, l'utilisateur peut naviguer dans la scène 3D de manière très fluide puis ajouter à la ville virtuelle, les différents résultats d'analyses réalisés par ArcGIS.

Après les nombreuses annonces de ces derniers mois et leur concrétisation depuis quelques jours avec la sortie d'ArcGIS 10, ESRI n'a pas fait d'annonces majeures pour le court terme. Au-delà de la présentation des nombreuses évolutions du système ArcGIS 10, quelques confirmations ont cependant été faites à l'occasion de cette session plénière.

ArcGIS Mobile 10

Une licence ArcGIS Mobile sera désormais disponible avec chaque licence ArcGIS Desktop (ArcVIew, ArcEditor ou ArcInfo). Concrètement, cela veut dire que vous pourrez déployer une application ArcGIS Mobile (application standard ou développée avec le SDK) sur un périphérique de votre choix (PC, Tablet PC, PDA, Smatphone, ….) dès lors que vous disposerez d'une licence ArcGIS Desktop 10. Ce dernier contiendra les outils nécessaires à la préparation du projet ArcGIS Mobile (le Mobile Project Center) mais aussi les outils de géotraitement permettant l'extraction et la réinsertion des données de la Géodatabase. Autre évolution, le nombre de licence ArcGIS Mobile déployables avec ArcGIS Server Advanced Enterprise est désormais illimité.


ArcGIS Server on Amazon EC2

La solution de déploiement d'ArcGIS Server sur la plateforme de Cloud Amazon EC2 est disponible depuis aujourd'hui en version 10. Comme pour la version 9.3.1, ce sont 2 AMIs (machines virtuelles Amazon EC2) qui sont sont déployables. La première contient un ArcGIS Server Advanced Enterprise et la deuxième contient uniquement un ArcGIS Server Basic Enterprise (ArcSDE).




OpenStreetMap

ESRI a annoncé également la généralisation de l'accès au fond de carte OpenStreetMap dans l'ensemble des applications ArcGIS. Ainsi, un utilisateur ArcGIS (Desktop, Engine, Server, Explorer ou encore iPhone) peut sélectionner ce fond de carte communautaire parmi les différents fonds de carte ArcGIS Online disponibles.


ESRI va encore plus loin dans l'intégration d'OpenStreetMap en proposant également un Add-On gratuit "ArcGIS Editor for OpenStreetMap" permettant d'extraire, de mettre à jour et de poster directement dans la base de données OpenStreetMap. J'aurai l'occasion dans les prochains jours de revenir en détails sur cet Add-On.

ArcGIS for Androïd

ESRI a confirmé durant la session plénière le développement d'une solution similaire à ArcGIS for iOS mais fonctionnant sur la plateforme Androïd. Cette dernière devrait être disponible d'ici la fin de l'année.

Le nombre de participants à la conférence est encore très impressionnant cette année. Je n'ai pas les chiffres officiels mais ils dépassent probablement les 13000 personnes.

Jack Dangermond (PDG d'ESRI Inc.) le mentionne dès ses premiers slides, la version 10 d'ArcGIS est une des grandes étapes dans l'histoire des solutions ESRI. Alors, vision marketing ou réalité technologique ?

Je pense qu'après cette session plénière, les milliers de participants la réponse. En effet, durant toute la matinée, ESRI a démontré au fil des différentes démos qu'ArcGIS 10 est désormais un système dans lequel les différents composants (Desktop, Mobile, Server, Online, …) sont interconnectés les uns aux autres. Le Web d'une part et la notion de Map de l'autre sont les deux fondements de ce système. Le travail réalisé par un utilisateur ArcGIS est exploitable par un autre utilisateur ArcGIS quelle que soit l'application (Desktop, Server, Mobile, iPhone, Web, …) qu'il utilise. C'est là, de mon point de vue, la promesse de cette nouvelle version et c'est pour cela qu'il s'agit d'une étape importante.

Dans l'ensemble, toutes les nouveautés évoquées dans ma série d'articles consacrés aux grands thèmes d'ArcGIS 10 ont été démontrées. Qu'il s'agisse de montrer les nouvelles fonctions de collecte de données, de traitement d'imagerie, de création d'Atlas cartographiques ou encore d'exploitation de la dimension spatio-temporelle de ses données SIG, les démonstrations ont systématiquement présentées différents scenarii et plateformes de déploiement. Globalement c'est l'idée qui m'a le plus marqué ce matin.

Je rentrerai plus dans le détail de certains annonces évoquées aujourd'hui, dans un prochain article...

Après quelques sessions spécifiques réservées aux distributeurs durant le week-end, la conférence commencera véritablement demain avec la session plénière.

L'événement est toujours aussi impressionnant lorsque l'on voit converger, en quelques heures, plusieurs milliers de participants vers le centre de conférence de San Diego. Cette année encore, nous devrions donc vivre une semaine passionnante.

En attendant, j'ai retenu une application très intéressante et innovante développée par un collègue d'ESRI Inc. Cette application permet de se localiser et de calculer son itinéraire dans le centre de conférence (énorme pour ceux qui connaissent l'endroit). Basée sur la reconnaissance de tag, l'application fait appel à un service web ArcGIS Server 10 (+ Network Analyst) pour calculer l'itinéraire en 3D. L'application fonctionne sur les appareils mobiles disposant d'un appareil photos et d'une connexion internet tels que iPhone ou Androïd par exemple.

J'ai réalisé cette petite vidéo qui résume le principe de cette application.



Une autre application, plus classique celle-ci, a été développée avec l'API Flex d'ArcGIS Server pour permettre aux participants de calculer leur itinéraire durant la conférence. Comme l'application précédente, cette dernière exploite aussi les fonctionnalités de Network Analyst.